Présentez vous :
Surnom : j'en est des tas
Age : **
Sexe : M
Loisirs : internet le plus souvent
Adresse msn : demender moi par MP
Commentaire :
Comment avez-vous connu le forum ? par michou
Personnage rp :
Nom : Sakyu
Prénom : Tsuku
Age : 27
Statut : prof de SVT
Aime : sa soeur
Déteste : ceux qui l'emerde
Descriptions physiques : (3lignes minimum) Il a de beau yeux marons, son corp est fin et ses muscles se décinent parfaitement sous sa peau. Et muslé il l'est car il pratique plusieur sports différant , il a des cheveux d'une noirseur a n'en pas finir, il a un collier donner par sa soeur
Descriptions caractéres : (4lignes minimum) Il est de nature simpatique et ne s'enerve pas souvent mais lorsqu'il s'enerve c'est ... bref, il est seul et ne parle pas souvent exépté a sa soeur car seul elle le comprend , il n'a jamais pu se pardonner son acte affreu qu'il a fait il y a quelque années
Histoire : (5lignes minimum) Nous sommes nés il y a seize ans. Je dis nous car je ne nous considère plus comme des êtres à part entière. Je ne peux vivre sans elle elle ne peut vivre sans moi. Nous sommes ainsi. Il y a seize ans ma soeur jumelle, Kaede et moi Tsuku sommes venus sur cette terre et cela était déjà un pêcher.
Notre enfance ne fut pas des plus heureuse, elle pleurait souvent le soir lorsqu'à travers la cloison de la chambre que l'on partageait on entendait nos parents se disputer. J'avais souvent envie de pleurer fort moi aussi au début. Mais j'étais l'ainé je devais veiller sur elle. Je la cajolais jusqu'à ce qu'elle cessa de pleurer pour s'endormir et ce n'est qu'alors que je m'autorisais des pleurs silencieux. J'étais le garçon de la famille je devais être courageux.
C'est ainsi que se déroula notre enfance. Sauf que je m'endurcis et pas elle... Je ne pleurais plus. Je n'en avais plus besoin ni envie ! Je détestait mes parents qui faisaient pleurer mon double je leur vouait déjà une haine sans pareille mais je ne l'ai jamais montrée car cela aurait encore plus fait pleurer ma cadette.
Lorsque nous eûmes 14 ans nos parents décidèrent de faire un brek... Ce qui était compréhensible mais pas de notre point de vu d'enfants ! Nous ne nous étions pour ainsi dire jamais quittés et si nous ne nous douchions plus ensemble depuis un bon paquet d'année par pudeur nous dormions encore dans la même pièce. Ma soeur m'offrit un collier qui ne m'a jamais quitté avant de partir.
Pendant l'année ou nous fûmes séparés je me perdais. Je n'étais plus le même... Je trainais avec des racailles et perdit totalement toute sensibilité. Pourtant jamais je n'enlevais ce collier. Pendant un ans je devins intenable. Mes profs se plaignaient mon père avec qui je vivais me menaça de la pension... Mais l'année se termina avant qu'il ne mettent en application ses menaces. Je me calmais pendant les vacances... A la rentrée ma soeur revenait...
Elle avait changeait, elle n'était plus une enfant. Elle avait maintenant les courbes des femmes que nous regardions sur certains album pour hommes avec mes potes... Je sentais quelque chose naître en moi sans pouvoir m'y résoudre. Je devint donc désagréable dans le vint espoir de l'éloigner pour oublier. Elle vint me voir la première nuit dans ma chambre car nous ne partagions plus la même. Je fut assez brutal avec elle... Et ce fut ainsi les semaines, les mois qui suivirent. Pourtant je n'arrivais à l'oublier. Lorsque je fermais les yeux je la voyais. Je m'imaginais en train de... enfin j'essayais de ne pas le faire mais... bon voilà Tout se précipita le jour ou un de mes potes se moqua de moi car Kaede m'avait filé son parapluie. Ce même pote me dit d'un ton narquois "T'as de la chance ta soeur est une vraie sainte avec toi. Je suis sûr qu'elle ferait tout ce que tu lui demanderais... Tu voudrais pas me la prêter un peu ?" Je lui cassis proprement la figure.
Lorsque je rentrais je ne pu m'empêcher d'être désagréable avec ma cadette. Elle était trempée et je voyais parfaitement ses formes à travers son uniforme clair. Cela m'excitait et je lui faisait implicitement comprendre de se barrer. Cela valait mieux pour elle. Mais j'entendis un grand bruit dans la baignoire. Je me précipitait aussitôt affolé. Elle était tombée dans la baignoire. Elle était nue je prenais mon courage à deux mains et entrais dans la bain. Je ne devais pas lui faire de mal mais l'aider, ce que je fis dans un premier temps... Mais ensuite... Ensuite je décidais que je devais lui faire partager ma chaleur. Mais je ne pu résister. Son corps brulant contre le mien. Je me tendis j'avais envie d'elle. Je me trouvais des prétextes et lui en trouvait aussi. Mais je lui fit mal. Ma main entra dans son vagin tendis que l'autre se promenait sur sa poitrine nue. Je devais me contenter de cela. Mais je voulais plus bien plus ! Elle ne pouvait se défendre. Je voulais la dominer. Elle me criait dessus mais je n'en tenais compte, je prenais tellement de plaisir à la tenir tout contre moi ! Mais elle s'évanouit avant que je n'ai pu la pénétrer. Je prenais alors conscience de l'ignominie de l'acte que j'avais faillit commettre. Je me soulageais près d'elle avant de la couvrir. Je l'embrassais longuement puis partit.
Le lendemain je ne sais ce qui me prit mais lorsque je la revit mon envie revint intacte. J'étais si cruel avec elle ! J'essayais de lui faire admettre que c'était ce qu'elle voulait alors... Oui je l'embrassait et ma langue se frayait un passage entre ses lèvres. J'essayais de me convaincre qu'elle aimait cela tout en sachant que c'était moi qui aimait tant ce contact. Elle m'échappa et partit s'enfermer dans sa chambre. J'avais honte, je l'avais forcée ! Qu'avais-je fais ? N'était-elle pas traumatisée ? Je redevenais en seconde le Tsuku d'avant, celui qui s'il aimait sa soeur ne lui ferait jamais plus de mal. Je toquais à sa porte elle refusait de m'ouvrir. Alors je défonçais sa porte. Je m'assis à côté d'elle sur son lit à une distance que je jugeais respectable. Je décidais de lui dire la vérité, de lui dire que je l'aimais plus que tout. Jamais plus je ne lui ferait de mal ! J'attendis en silence qu'elle réponde. J'avais peur qu'elle me dise de partir. Mais elle ne le dit pas. Elle essaya de me faire comprendre que ce n'était pas possible mais ses mots cachait autre chose. Je le sentais j'étais son frère jumeaux !
Kaede :
Tsuku-kun, arrête tu es mon frère ça ne se fait pas!
Tsuku :
Tu veux dire que si je n'étais pas ton frère tu accepterais d'être avec moi.
Elle me regarda tristement et je compris qu'elle m'aimait aussi, cela réchauffa mon coeur. Maintenant je me sentais puissant ! Je pouvais déplacer des montagnes !
Kaede :
Oui, mais tu es mon grand frère alors ne rendons pas le choses compliquées d'accord ?
Tsuku :
Alors je ne te considère plus comme ma soeur. Je te veux autrement. Kaede... Tu m'aimes ?
Elle hocha sobrement la tête. Je la prenais doucement dans mes bras et l'allongeait sur le lit. Je parcourais son corps voulant m'en empreigner. Enfin elle m'appartenait. Enfin je pouvais faire ce dont je rêvais depuis tant de nuits... nous nous abandonnâmes l'un à l'autre. Le matin en m'éveillant j'étais heureux. Nous ne nous sommes pas retouché depuis Mais nos parents rentrèrent. Ma soeur ne voulait pas les inquiétés. Je lui proposais de partir. Mais elle tenait trop à nos parents pour fuguer avec moi. On trouva un compromis raisonnable au bout d'un long moment... Nous dîmes à nos parents que nous souhaitions aller dans un établissement privé. Ils acceptèrent. Nous voici donc partit pour cacher notre liaison...
Autres : Yataa!!! VIVE LES MANGAS !!
Mer 25 Juin - 11:51
